Un jeune homme nommé Peter, âgé de 16 ans avait une particularité. Il aimait sortir et se rendre au bistro. Il y retrouvait ses amis. Sa maman lui demandait de ne pas rentrer trop tard. Chaque fois qu'il s'y rendait, il rentrait tard. Où plutôt tôt le matin. Il était pris dans cet engrenage : voir ses amis, discuter, boire... Un jour, sa maman était fatiguée, malade, lui demanda de rentrer plutôt. Elle lui ajouta, je t'attendrais. En effet, Peter avait remarqué son état bien fragile. Il partit, décidé de rentrer plutôt. Mais, il ne put le faire. Il fut pris dans les discussions, l'alcool. Il rentra encore plutard. En s'approchant de la maison, il aperçut la lumière dans le salon. Il savait que sa maman l'attendait. Enervé, il se dit en lui-même : je rentrais et j'irais directement dans ma chambre. Il fit exactement ce qu'il dit. Ce matin là, il ne trouva pas le sommeil. Il se disait : j'aurais pu au moins souhaiter bonne nuit à maman.
Alors, il se leva. Il frappa à la chambre de sa maman. Il n'entendit rien. Il frappa à nouveau. Toujours aucune réponse. Il se souvint d'une chose: la lumière dans le salon. Maman l'attendait dans le salon.
Il descendit au salon. Il vit sa maman sur le fauteuil. Il lui dit : bonne nuit. Elle ne répondit pas. Il répéta les mots. Toujours rien. En s'approchant, il vit qu'elle était morte. Elle avait néanmoins laissé un petit billet sous la lampe. Il y était écrit : je t'attendrais au ciel.
Il était peiné. Il organisa l'ensevelissement. Quelques temps plutard, il repris son train-train. Il retourna au bar avec ses amis. Dans la discussion, un de ses amis annonça : Maman m'a dit qu'elle m'attendrait ce soir. Peter eut un déclic. Il se leva et commença à partir. Ses amis lui dirent où vas-tu? Chez moi car maman m'attend. Ses amis savaient qu'elle était morte. Ils lui répétèrent la question. Peter donna la même réponse.
A la maison, il regretta de ne pas être rentrer plutôt. Il eut de remords. Il culpabilisa. Il savait une chose : maman l'attendait au ciel.