L'hysope est un arbrisseau, discret, de 30 à 60 cm, poussant dans un environnement rocheux, type garrigue, climat méditerranéen. Ses fleurs sont bleues, violettes, rouges ou blanches groupées en épis.

Cette plante était utilisée dans des buts religieux et médicinaux.

Elle a pour symbole l'humilité et la pureté, ayant des capacités d'anti-sceptiques.

Cet arbrisseau est cité dans la Bible :

- Vous prendrez ensuite un bouquet d’ hysope [ezowb], vous le tremperez dans le sang qui sera dans le bassin, et vous toucherez le linteau et les deux poteaux de la porte avec le sang qui sera dans le bassin. Nul de vous ne sortira de sa maison jusqu’au matin.(Exode 12.22)

- le sacrificateur ordonnera que l’on prenne, pour celui qui doit être purifié, deux oiseaux vivants et purs, du bois de cèdre, du cramoisi et de l’ hysope [ezowb]. (Lévitique 14.4)

- Purifie-moi avec l’ hysope [ezowb], et je serai pur ; Lave-moi, et je serai plus blanc que la neige. (Psaume 51-7)

- Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge, et, l’ayant fixée à une branche d’ hysope [hussopos], ils l’approchèrent de la bouche de Yeshoua. (Jean 19-29)

L'hysope était utilisé pour la purification d'une personne, répondre le sang sur une maison ou peuple de Dieu mais aussi l'humilité.

Suite à un enseignement de JM. Thobois

En hébreux, le mot Egypte se dit : Mitzrayim qui signifie limite. Le mot Egypte est un code qui transmet et cache un message.

En faite, nous ne sommes pas seulement sortie d'Egypte mais essentiellement sortie des limites de ce monde, de limites à l'extérieures à nous ainsi et surtout des limites à l'intérieur de nous.

Nous pouvons être capable de nous dépasser, de nous surpasser, de faire sauter, tomber toutes les limites, tout ce qui nous empêche d'être ce que nous devons être.

C'est un message profond, fondamental et puissant de la naissance d'Israël et de chacun de nous.

Sortir de ses limites, montrer que l'on peut toujours aller plus loin en atteignant  de nouveaux endroits, de nouvelles personnes et performances.

Participons à cette nouvelle sortir d'Egypte, allant au delà de nous limite avec l'aide du Saint Esprit (Rouhah Hakodesch).

Suite à un enseignement du Rav Haim Dynoviz

Afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, en devenant conforme à lui dans sa mort, pour parvenir, si je puis, à la résurrection d'entre les morts. Philippiens 3.10

Paul était un homme, il acceptait ce qu’il était. Il se connait comme cela. Quelques lignes plus hautes, l’apôtre Paul décrit son expérience et comment Dieu l’a dépouillé avant de le transformer. Il dit même : qu’il aurait pu être sujet à mettre sa confiance dans sa chair donc à ses propres capacités, sa nature et ses ressources humaines. Voici les 7 choses qu’il faisait avant de connaître Jésus Christ :

Circoncis = il portait un signe visible, distinctif dans son corps, montrant son appartenance au peuple Juif

Il est de la race d’Israël = le peuple choisit de Dieu

Il est issu de la Tribu de Benjamin = une tribu bien respectée

Il est Hébreux né d’Hébreux = sa nationalité est acquise par la descendance (né de parents Hébreux)

Il était pharisien = il avait une grande connaissance de la Loi, de l’Ancien Testament

Il était persécuteur = il était zélé et convaincu de faire le bien : pour élimer les chrétiens

Il était irréprochable quant à la loi = il offrait des sacrifices pour chaque péché commis, il n’était redevable de personne.

Paul était sûr de lui, fier. Il savait, connaissait la loi car il servait Dieu. Connaissait-il Jésus-Christ ?

Dieu l’a arrêté sur le chemin de Damas, il tomba par terre et Paul demanda : Qui es-tu Seigneur ?

Paul connaissait beaucoup de choses de Dieu mais il ne connaissait pas Jésus-Christ.

Nous pouvons connaître beaucoup de choses sans pour autant connaître Jésus et la puissance de Sa résurrection.

Connaissons-nous Jésus-Christ ? l’avons-nous dans le cœur ?

Elle nous enseigne à renoncer à l'impiété et aux convoitises mondaines Tite 2.12

Ici, il est question de la grâce qui nous enseigne comme un enfant est enseigné par des parents ou un instituteur. Elle nous enseigne dans un premier temps à renoncer. Le renoncement est différent de l’interdiction. L’interdiction vient de l’extérieur, par exemple : un parent va interdire à son enfant de fumer, de parler méchamment ou vulgairement… Tandis que le renoncement vient de l’intérieur, c’est une décision que nous prenons personnellement comme je renonce de fumer, de me bagarrer, de parler grossièrement... Ce texte annonce un renoncement à l’impiété qui signifie un mépris de la religion. On pourrait plus tôt dire un mépris de Dieu, de Sa Parole. Mais, il est fait mention aussi du renoncement aux convoitises mondaines. Cette expression est au pluriel et donc s’étend à plusieurs domaines : l’argent et le matériel : vouloir toujours plus, la sexualité : se diversifier, essayer, tester, faire comme les autres, le pouvoir : chercher à s’imposer, le plaisir : une recherche sans fin…

Si je convoite ceci, est-ce un signe de richesse ou de pauvreté ? Est-ce un signe d’abondance ou de manque ?

Seigneur guide nous dans ta voix et garde nous de l’impiété et des convoitises dans le nom de Jésus. Amen !

Murmurer signifie dire à voix basse ou encore chuchoter quelque chose à quelqu’un. Les murmures sont en quelques sortes des protestations, des plaintes qui se font à mi-voix. Mais, nous pouvons murmurer aussi au-dedans de nous en nous posant des questions sur nous, sur autrui, sur ce que nous ne comprenons pas... Dieu les entends, tout monte à Lui. Que peuvent nous apporter les murmures ? Ils nous apportent le doute puis la confusion, suivi du manque de foi donc cela provoque la désobéissance qui conduit à la révolte et à la rébellion. Le peuple d’Israël a murmuré plusieurs fois contre l’Eternel et ses serviteurs. « Jusqu’ à quand laisserai-je cette méchante assemblée murmurer contre moi ? » (Nombres 14 :27). Les murmures les ont empêchés d’avancer au pays promis. Ils bloquent l’intervention de Dieu et créent des situations négatives qui n’avaient pas lieu d’être. Jésus lui-même a dit : « Ne murmurez pas entre vous » (Jean 6.43). Pourquoi ne pas murmurer ? Le peuple d’Israël périt dans le désert. (1 Corinthien10.10). Ceux qui murmurent, se plaignent de leur sort, marchent selon leurs convoitises, ont à la bouche des paroles hautaines, admirent les personnes par motif d’intérêt. (Jude1.16). Comment pouvons-nous lutter contre les murmures ? Nous pouvons les vaincre en louant Dieu qui agit et brise les forces négatives.

Père, tu sais que nous sommes tous amener à murmurer dans nos cœurs ou à voix base. Pardonne-nous de pécher contre toi à travers nos murmures. Nous ne pouvons les maîtriser mais toi le Dieu Très Haut tu peux le réaliser. Interviens dans nos vies, brises les murmures et aide nous à te louer dans le beau et merveilleux Nom de Jésus. AMEN!