C'est un juif qui va à la synagogue le vendredi soir. Il se rend compte qu'il a oublié un billet de 200 € sur lui, et qu'il n'a pas le temps d'aller le déposer à la maison. Comme Shabbat va commencer et qu'il ne pourra plus manipuler d'argent, il ouvre un livre de Dinim et y dépose son billet à la page où est il écrit "Tu ne voleras point."

Shabbat se passe, et il retourne chercher son billet glissé la veille dans le livre.

Or, plus de billet. En examinant le livre de plus près, il s'aperçoit qu'un billet de 100 € dépasse légèrement d'une page.

Il ouvre la page et la première chose qu'il lit est : "Tu partageras ton bien avec ton prochain".

Connaissez-vous l’histoire de ce petit garçon très fier d’avoir été choisi pour jouer dans l’orchestre de son école, lors de la fête annuelle. Il passa des heures et des heures à s’entraîner sur sa petite trompette. Il voulait être sûr de ne pas se tromper. Le jour venu, il monta sur la scène avec ses camarades musiciens, ébloui par la lumière des projecteurs, ébahi devant le parterre des parents venus écouter le fameux concert. Le chef (le professeur de musique) monta sur sa minuscule estrade et l’orchestra débuta le morceau. Le petit garçon restait les yeux rivés sur le chef d’orchestre, attentif à ne pas se tromper. A tour de rôle la baguette pointait vers une section de l’orchestre et les musiciens jouaient leur part. Soudain la baguette pointa vers lui, il se leva, brandit sa trompette et souffla avec précision la note qu’il devait jouer, l’unique note qu’il avait apprise au cours des répétitions. Puis il se rassit, un sourire éclatant sur son visage, fier d’avoir joué la bonne note au bon moment et sans briser le rythme du morceau. Le petit musicien avait joué son rôle à la perfection et cela remplissait son coeur de joie !

Une enseignante d’une école du dimanche décida de tester un jour l’attitude des enfants de sa classe sur ce sujet. Elle commença par leur demander : “Si vous aviez 100 euros dans votre poche, est-ce que vous les donneriez pour des gens miséreux ?” Les trente enfants levèrent tout de suite la main. Elle continua : “Si vous aviez vingt euros dans votre poche, est-ce que vous accepteriez de me les donner pour aider des gens dans le besoin ?” Encore une fois les trente enfants levèrent la main. Puis : “Si vous aviez deux euros dans votre poche, accepteriez-vous d’en faire don à quelqu’un dans le besoin ?” Cette fois-ci 29 enfants levèrent la main. Elle s’approcha du petit garçon qui n’avait pas levé la main pour savoir pourquoi il avait refusé de lever la main. “Parce que j’ai deux euros dans ma poche” répliqua-t-il, l’air contrarié ! Ne faisons-nous pas trop souvent la même chose ? Si Dieu nous demande de donner la dîme de ce que nous avons, quelles excuses recherchons-nous ?

Un soir, alors, qu'il y avait de l'orage, une petite fille qui était dans son lit, ne pouvait dormir. Elle eut peur des coups de tonnerre.

Elle appela donc sa maman qui arriva et lui dit :

- Maman,j'ai peur de l'orage, je n'arrive pas à dormir.

La maman rétorqua :

- Ce n'est rien ma chérie, ce sont juste des anges qui jouent au bowling et font des strikes.

La petite fille sourit et se coucha.

Un petit garçon souleva un jour la Bible qui se trouvait dans la bibliothèque de ses parents et demanda à sa maman : “C’est le livre de Dieu, Maman ?” “Tout à fait.” répondit celle-ci. “Alors tu ne crois pas qu’on devrait le Lui renvoyer dès que possible, puisque personne ne le lit dans cette maison ?”