« Une psychologue marchait vers le podium tout en enseignant la gestion du stress à une audience avertie. Comme elle a soulevé un verre d ’eau, tout le monde s ’attendait à question du « verre à moitié vide ou à moitié plein ». Au lieu de cela, avec un sourire sur son visage, elle demanda: «Combien pèse ce verre d ’eau? »
Les réponses entendues variaient de 8 onces à 20 onces
Elle a répondu: «Le poids absolu n ’a pas d ’importance. Cela dépend de combien de temps je le tiens. Si je le tiens pendant une minute, ce n ’est pas un problème. Si je le tiens pendant une heure, j ’aurai une douleur dans mon bras. Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras se sentira engourdi et paralysé. Dans chaque cas, le poids du verre ne change pas, mais plus longtemps je le tiens, le plus lourd, il devient. » Elle a poursuivi: «Le stress et les inquiétudes dans la vie sont comme ce verre d ’eau.
Pensez-y pendant un moment et rien ne se passe. Pensez-y un peu plus longtemps et ils commencent à faire mal. Et si vous y pensez toute la journée, vous vous sentez paralysés – incapable de faire quoi que ce soit ».
Penser à déposer le verre. »
Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a pas beaucoup
à leur offrir.
Au retour, le père demande à son fils:
" As-tu aimé ton séjour ? "
" C'était fantastique papa ! "
" As-tu vu comment les gens pauvres vivent ? "
" Ah oui ! ", répond le fils.
" Alors, qu'as-tu appris ? "
Le fils lui répond:
" J'ai vu que nous n'avions qu'un chien alors qu'ils en ont quatre.
Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique.
Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux,
ont des étoiles partout dans le ciel.
Nous avons une immense galerie à l'avant et eux, ont l'horizon.
Nous avons un domaine mais eux, ont des champs à perte de vue.
Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.
Nous achetons nos denrées, et eux, les cultivent.
Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger,
eux ont des amis qui les protègent. "
Le père en resta muet.
Le fils rajouta :
" Merci papa de m'avoir montré tout ce que nous n'avons pas. "
Il était une fois en Inde un porteur d’eau qui portait deux pots d’eau, chacun accroché au bout d’un bâton posé en balancier sur ses épaules. Un des pots était marqué d’une fêlure, et l’autre pot
était parfait : il gardait son plein d’eau tout au long du chemin qui menait à la rivière. Le pot fêlé ne livrait que la moitié de son chargement d’eau.
Pendant deux ans, chaque jour, le porteur d’eau n’apportait qu’un seau et demi à la maison des maîtres. Bien sûr, le pot parfait était fier. Et le pot fêlé était Honteux de son défaut, malheureux
de ne pouvoir accomplir que la moitié de sa mission.
Après deux ans de ce qu’il ressentait comme un échec, il parla un jour au porteur d’eau, près de la rivière.
— « J’ai honte, je voudrais m’excuser. »
— « Pourquoi? » demanda le porteur. « De quoi as-tu honte? »
— « Depuis deux ans, je n’ai été capable de porter que la moitié de ma charge : la fêlure de ma panse laisse couler de l’eau pendant tout le trajet qui sépare la rivière de la maison des maîtres.
A cause de mon imperfection, tu n’es pas récompensé de ton travail », dit le pot.
Le porteur d’eau fut désolé d’entendre cette complainte : « Lorsque nous retournerons à la maison des maîtres, observe bien les belles fleurs le long du chemin ».
En effet, comme ils escaladaient la colline, le pot fêlé observa le soleil qui dorait les superbes fleurs sauvages le long du sentier. Cela lui réchauffa un peu le cœur. Mais, à l’arrivée, il se
sentait toujours mal, car il avait laissé fuir la moitié de son eau. A nouveau, le vieux pot s’excusa auprès du porteur d’eau.
Celui-ci lui répondit :
— « As-tu remarqué qu’il y avait des fleurs de ton côté du chemin seulement ? C’est parce que j’ai toujours connu ton défaut, et que j’en ai tiré parti. J’ai semé des fleurs de ton côté du
sentier. Chaque jour, lorsque je reviens de la rivière, tu les arroses. Depuis deux ans, j’ai ainsi des fleurs à couper pour décorer la table des maîtres. Si tu n’étais pas fait tel que tu es,
cette maison ne connaîtrait pas tant de grâce."
"Chacun de nous, avons nos propres manques, nos propres fêlures. Mais ce sont chacune de ces craques et chacun de ces manques qui rendent nos vies ensemble si intéressantes et enrichissantes à
trouver ce qu'elle a de bon en elle."
Une nuit, j’ai eu un songe. J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en compagnie du Seigneur. Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres, toutes les scènes de ma vie.
J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable : L’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur. Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous les jours de ma vie aient défilé devant moi.
Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière. J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie, les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur et aussi de plus grande douleur.
Je l’ai donc interrogé : " Seigneur… tu m’as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté de vivre avec Toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas. Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul aux moments où j’avais le plus besoin de Toi."
Et le Seigneur répondit : " Mon fils, tu m’es tellement précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné, pas même une seule minute ! Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien : c’était moi qui te portais. "
Margaret Fishback Powers
Dans une petite église cachée dans un entrepôt au fin fond de la campagne soviétique, une veillée de prière allait commencer malgré l'interdiction formelle d'être chrétien. La mort était promise
pour quiconque était découvert comme étant disciple de Christ. Le pasteur s'avança pour entonner un chant de reconnaissance au Seigneur que l'assemblée reprit avec lui de tout cœur.
Quand la porte de l'entrepôt se mit a grincer, les fidèles se sont immédiatement arrêté de chanter... il fallait faire silence. Soudain, 2 silhouettes entrèrent violement en criant et en
gesticulant avec de gros fusils ! Des agents du KGB !
- Les agents : "Silence ! Mettez vous en rang tout de suite !"
Les fidèles s'exécutèrent, et se mirent tous sur une ligne, serrés les uns contre les autres pour se donner du courage, sans doute.
- Un agent : "Y'a t'il des chrétiens parmi vous ?"
Lourd silence, mêlé de pleurs et de respirations alletantes...
- L'agent répète en criant : "Y'a t'il des chrétiens parmi vous !?"
- Le pasteur tremblant, leva la main : "Oui, je crois en Jésus-Christ"
Une deuxième main se leva, puis une troisième, puis une jeune mère avec son enfant.
L'autre agent, les saisis par le bras et les fit sortir de la rangée, pour les mener quelques pas plus loin. Tous le monde retint son souffle en exprimant sans doute leur ultime prière
intérieur.
- Un agent en criant : "Si il y a ici d'autres chrétiens, rejoignez votre pasteur de ce coté-ci, les autres, dehors ! Vite ! ?
Les agents attendirent que tous les autres sortent en courant de l'entrepôt et s'éloigner... Ils attendirent encore un peu, fixant le pasteur et ses quelques fidèles restés. Puis les agents se
regardant l'un l'autre, se mirent à sourire, posèrent leurs armes, ôtèrent leurs cagoules, puis poussèrent de grand éclats de rire en disant " Mes frères, mes sœurs ! Pardonnez nous de vous avoir
fait si peur, nous sommes chrétiens, nous voulions trouver une église fiable avec de vrais chrétiens ! La voilà !?
Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera. Marc 8:35
Bonjour à toutes et à tous,
Je vous informe que je serais absente à partir de ce jour pendant une petite période!
Je vous remercie pour de vos commentaires, de votre fidélité!
Au plaisir de vous retrouver et de partager avec vous ce que je vais visiter!
Je vous embrasse bien fort!
A bientôt
-Angelique-
Un touriste arrive sur une île dans le Pacifique. Il cherche un bon guide pour trouver les plus gros poissons, les plus belles pierres et artisanat à moindre coût. On lui conseilla un homme de nom : Jonhy Longo. Il trouve les plus gros poissons, les plus belles pierres et les meilleurs produits du coin à moindre prix. Il connait l'île et il est un bon négociateur. Mais les gens se rient de lui. Un propriétaire de restaurant, lui explique qu'il a acheté une femme (qui ne prend pas soin d'elle, qui regarde toujours en bas, qui ne sourit pas....) pour le prix de 8 vaches alors que son père en voulait 3 vaches car il pensait que Johny Longo allait négocier sa fille à 1 vache. Alors, une personne conduisit le touriste à la maison de Johny Longo qui frappa à la porte. Johny Longo l'accueilla autour d'une table et le questionna :
- Comment m'avez-vous trouvé?
- Des gens de l'île m'ont conseillé comme bon guide.
- Ils ont sûrement parlé de ma femme? qu'en disent-ils?
le touriste un peu embarrassé lui répondit :
- ils se demandent pourquoi vous avez acheté votre femme 8 vaches?
A ce moment là, la femme de Johny Longo, arrive, bien habillée, avec le sourire,
des cheveux soignés, avec une marche remplie de confiance, servant des rafraîchissements et câlinant la joue de son époux. Le touriste eut la bouche grande ouverte d'étonnement.
Johny Long lui dit
- je vais vous expliquer : le dimanche, les femmes d'ici vont au marché. Entre elles, elles se disent : Mon mari m'a acheté 3 vaches, le mien 5 vaches.... comment mon épouse se serait sentie si je l'avais acheté 1 vache? Je l'ai acheté 8 vaches car aucun homme n'est allé au dessus de 5 vaches. Vous avez le résultat : mon épouse a confiance en elle, elle est belle, elle sourit, elle prend soin d'elle...
A combien n'avons-nous pas plus de valeur aux yeux de Christ, qui s'est livré pour nous à la croix?
Quelle est la différence entre un acteur et un pasteur?
- un acteur parle avec conviction des choses fausses
- un pasteur parle sans conviction des choses vraies.
Beaucoup de personnes rassemblées hier soir,
devant ces lumières de couleurs étincelantes,
Pourtant ces feux d'artifices sont éphémères,
Les gens ont le regard tourné vers le ciel
et différentes réactions se disent:
- oh la belle bleu!
- attention ça va péter!
- j'adore celui-là
- c'est beau!!!
On attend tous ce spectacle de 20 minutes! Que produit-il?
20 minutes de joie? 20 minutes de beau?
Attendons-nous Jésus-Christ qui va venir comme on attend ce 14 juillet?
Regardons-lui à Lui comme on regarde à ces petites lumières?
L'adorons-nous comme on aime ces couleurs, ces dessins ?
Lui, Il est le Chemin, la Lumière et la Vie
Jésus Christ n'est pas une lumière éphémère
Quand on l'a s'est pour la vie.