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  • Angie583
  • Poème, lecture et écriture, voyage, ballade, cuisine,
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De l'obscurité à la lumière de Gabrièla

'Un livre si nécessaire à notre époque! Ceux qui se trouvent dans les ténèbres spirituelles, et qui ne comprennent pas ce qui leur arrive seront éclairés.' - Pasteur Christian Grandmaire (bibledoc.com). 'Un témoignage poignant de délivrance, qui confirme la possibilité d'un changement, pour vivre une vie heureuse et épanouie'- Pasteur Daniel Houmard. 'Le récit de la vie d'une jeune fille qui est passée d'un avant sombre à un après pleins de promesses' A.H http://www.editionsoasis.com/Gabriela-cbhaaaaab.asp

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 23:28

Un homme très riche, passionné de chasse, avait un serviteur qui, en toutes circonstances, lui disait toujours: "Patron, ne vous découragez pas, car tout ce.que Dieu fait est parfait: il ne se trompe jamais".
Un jour, ils sont allés à la chasse et un léopard attaqua le roi, le serviteur réussi à tuer l'animal, mais ne parvint à empêcher l'homme riche de perdre un doigt. Furieux et sans montrer sa gratitude, le patron dit: «si Dieu était bon, je n'aurais pas été attaqué, et je n'aurais pas perdu mon doigt». Le serviteur répondit: malgré toutes ces choses, je peux seulement vous dire que Dieu est bon et tout ce qu'Il fait est parfait, il ne se trompe jamais. Indigné par la réponse, le richissime patron ordonna l'arrestation de son serviteur.
Plus tard, il partit pour une autre chasse, et fut cette fois-ci capturé par des hommes sauvages qui utilisent les êtres humains pour le sacrifice. Dans l'autel, les sauvages ont découvert que l'homme n'avait pas un doigt en place, il a été libéré parce qu'il n'a pas été jugé «complet» pour être offert aux dieux.
À son retour en ville, il ordonna tout de suite la libération de son serviteur et lui dit: «Mon ami, Dieu a été vraiment bon envers moi: J'ai été presque tué, mais parce qu'il me manque un doigt, on m'a relâché. Mais j'ai une question, Si Dieu est si bon, pourquoi a t-il permis que je te mette en prison ?». Il répondit: «mon patron, si j'étais allé avec vous, j'aurais été sacrifié parce que je n'ai pas de doigt manquant». Tout ce que Dieu fait est parfait: il ne se trompe jamais.

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18 mai 2014 7 18 /05 /mai /2014 01:12

Connaissez-vous l’histoire de cet agriculteur qui, lassé de travailler sa ferme dont il considérait les terres trop ingrates, décida de la mettre en vente ? Quelques jours plus tard, la secrétaire de l’agent immobilier lui passa un coup de fil pour lui demander son avis sur l’annonce de vente qu’elle envisageait de faire publier. Ce texte décrivait une ferme en excellent état, située dans un endroit idéal, isolée et calme mais avec un excellent accès, des terres fertiles et bien entretenues, des collines herbeuses entourant un lac aux eaux claires et poissonneuses, et un gros cheptel en parfaite santé. L’agriculteur, après une pause, lui demanda si elle pouvait lui relire l’annonce. Il l’écouta en silence une seconde fois, avant de déclarer : “J’ai changé d’avis. Je retire ma ferme de la vente. Cela fait tant d’années que je recherche une aussi belle ferme !”

SPPA (le 09.05.2014)

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 02:36

En ce temps-là, Dieu habitait sur terre.
Un drôle de bonhomme, un fermier, arriva et dit à Dieu :
"Écoute, mon vieux, tu as peut-être créé l'univers mais tu n'es pas fermier. Je vais t'apprendre un peu."
"Dis-moi !, fit Dieu (tout en souriant discrètement dans sa barbe).
"Donne-moi un an, dit le fermier, et fais comme je te dis. Tu vas voir : finie la pauvreté !"

Pendant un an, Dieu accorda au fermier tout ce qu'il voulait.
Plus de tempête, plus de foudre, plus aucun danger pour le bétail.
C'était le grand confort. Le blé poussait dru.
Si le fermier voulait du soleil, il faisait soleil ; s'il voulait de la pluie, il pleuvait autant qu'il voulait.
Cette année-là, tout arriva à point.
Le blé poussait tellement haut que le fermier alla trouver Dieu et lui dit :
"Regarde, mon vieux. Encore dix ans comme ça et il y en aura assez pour nourrir tout le monde sans que personne ne travaille !".

Mais lorsqu'on fit la récolte, il n'y avait rien à l'intérieur des grains de blé. Des cosses vides. De l'air. Le blé, qui avait poussé si haut, ne contenait rien.
Surpris, le fermier demanda à Dieu ce qui s'était passé.
"Parce qu'il n'y avait ni défi, ni conflit, ni friction, parce que tu as évité tout ce qui était mauvais, le blé, qui avait poussé si haut, ne contenait rien.
Il faut toujours se battre un peu.
Il faut la nuit entre les jours. La tempête, la foudre, le tonnerre, il en faut.
Ils secouent l'âme du blé."

Auteur inconnu
Envoyé par Véro, que nous remercions pour sa fidèle coopération !

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4 mai 2014 7 04 /05 /mai /2014 02:31

Elle me tracasse dit Dieu, cette manie qu'ils ont de se regarder le nombril au lieu de regarder les autres. Car j'ai fait les nombrils sans trop y prêter attention, un peu comme le tisserand qui arrive à la dernière maille et qui fait un noeud, comme ça, pour que ça tienne, à un endroit qui ne paraît pas trop... En fait, j'étais content d'avoir fini.
Oui, de toute ma création, dit Dieu, ce qui m'étonne le plus, c'est tout le temps qu'ils mettent, dès que ça va un peu mal, à se regarder le nombril au lieu de voir les difficultés des autres. Si c'était à recommencer, si je pouvais faire un rappel général, si ce n'était pas trop de remettre l'ouvrage sur le métier, je leur placerais le nombril en plein milieu du front.
Comme ça, dit Dieu, ils seraient bien obligés de regarder le nombril des autres !

Petite histoire recueillie et mise en forme par le P. René Bourget, religieux Fils de la Charité, et parue dans "Chantiers" (revue des Fils de la Charité : 22 rue de l'abbé Derry - 92130 Issy les Moulineaux), n°112 de décembre 1996 (p.21).

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26 avril 2014 6 26 /04 /avril /2014 23:06

En voyageant dans les montagnes de l'Himalaya, je vis un arbre couvert d'insectes. Tout d'abord, je ne m'aperçus pas que c'étaient des insectes : ils étaient posés sur les feuilles et je les pris pour des feuilles jusqu'à ce que, ayant regardé de plus près, je vis que ce n'étaient pas des feuilles, mais des insectes. Très surpris, je constatai qu'il n'y avait pas la moindre différence entre les feuilles et les insectes. Un homme du village m'expliqua : " Ces insectes naissent sur l'arbre et se nourrissent de l'arbre et que l'arbre est tout pour eux." Je me dis alors que ceux qui vivent avec Jésus-Christ deviennent aussi semblables à Lui. Quand nous vivons en sa présence, nous sommes comme modelés à son image.

Sadhou Sundar Singh

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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 00:55

Un garçon offre a Sa fiancé une poupée. Elle s’énerve, Prend la poupée et la Jette dans la rue.

Son fiancé arrive et lui dit : «Pourquoi tu as Jeté la poupée ?»

Elle répond : «Parce que Je n'aime pas ton Cadeau.»

Lui va dans la rue et ramasse la Poupée, quand Surgit une voiture qui Circulait dans la rue et le renverse, Causant ainsi sa mort.
Le jour de l'enterrement, La fiancée en larmes prend la Poupée, la Serre dans ses bras...
Au moment ou elle la serre dans Ses bras, la Poupée dit : Veux-tu te marier avec moi ?»

Alors elle, impressionnée, Laisse tomber la Poupée, et de la poche de la Poupée tombent 2 Alliances.

Aime ce que tu as, Avant que la vie t'enseigne à aimer ce que tu as perdu.|

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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 01:02

Tous les jours depuis des mois, la petite Mathilde prie pour qu'il fasse beau le jour de son anniversaire, ce qui fait bien rire sa gouvernante, qui n'est pas croyante.
Le jour venu, il pleut des cordes toute la journée !
La gouvernante, moqueuse, lui dit :
"Tu vois, Mathilde, ton Seigneur ne t'a pas entendu."
"Oh si, répond Mathilde, pleine d'aplomb. Il m'a entendue ! Simplement, tu vois, Il a di
t NON !"

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 01:37

Marthe croit encore avoir faim et de son lit réclame un morceau de pain.
- C'est de la fantaisie, ma petite fille, répond la mère. Nous sortons de table, tu n'auras pas de pain, mais un baiser.
- Merci, répond gentiment la petite, c'est meilleur, puisque les baisers d'une maman c'est le pain du coeur.
Et dans le fond de la chambre, la voix d'Anne, la petite soeur, murmure :
- Oui, mais Jésus est le coeur du pain !

Max Camis, paroles d'enfants, 1928

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23 mars 2014 7 23 /03 /mars /2014 01:34

La mère et l'enfant se hâtent dans l'orage déchaîné.
Sous le ciel noir, déversant des trombes d'eau tiède dans le vent tourbillonnant, ils vont, serrés l'un contre l'autre, sur la route interminablement droite.
Pas un arbre, pas d'abri où se réfugier. Les frêles silhouettes qui se détachent sur l'horizon morne s'unissent pour résister aux forces conjuguées des éléments déchaînés.
Dans le grondement du tonnerre et le bruit du vent la mère perçoit cependant la voix de son petit.
- Maman, pourquoi qu'Il fait pleuvoir comme ça le bon Dieu ?
La réponse toute d'inquiétude veut cependant redonner confiance à l'enfant.
- Je ne sais pas, Paul, mais tu peux Lui demander de l'arrêter !
Alors sans douter une seconde de ce que dit sa maman, dressant sa frimousse ruisselante sur laquelle les cheveux sont plaqués, le petit garçon clame vers le ciel :
- Bon Dieu, fais arrêter l'orage, veux-tu ?
Me croirez-vous ? La pluie cesse lentement, le vent peu à peu s'apaise et, roulant dans le lointain, l'orage diminue.
" Ah ! Tu vois ", dis le jeune interlocuteur, sans plus s'étonner.
La femme que le fait saisit ne peut parler, mais à l'eau qui dégoutte des cheveux sur le visage viennent se mêler maintenant les douces larmes de la reconnaissance.

Max Camis, parole d'enfants, 1928

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 01:07

" Pourquoi le mal dans le monde ? " demandait un jour un fidel à son pasteur.

Le pasteur répondit :
" Ecoutez-moi bien : imaginons une mère en train de broder. Son petit enfant, assis sur un tabouret bas, la regarde travailler ; mais par-dessous, à l'envers. Il voit les nœuds de la broderie, l'enchevêtrement des fils...

Et il dit : "Maman, qu'est-ce que tu fais ? Ton travail est tout embrouillé !"

Alors sa mère abaisse le tissu et lui montre le bon côté de la broderie. Chaque couleur est à sa place et la variété des fils se fond dans l'harmonie du dessin.

Il en est ainsi pour nous, qui voyons l'envers de la broderie. Nous sommes assis sur le petit tabouret... "

Nous aussi pensons à regarder les choses d'un point de vue différent, pour pouvoir comprendre l'oeuvre parfaite de Dieu avec ses yeux.

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